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Réponse à EUSKAL KONFEDERAZIOA

Madame, Monsieur,

Je vous remercie de votre consultation par mail, que je laisse en téléchargement ici afin que les lecteurs puissent connaître la teneur de votre courrier.

Ma réponse sera très brève et vous renvoit vers une déjà donnée, il y a peu, au réseau Euskal irratiak. N'y voyez aucune condescendance de ma part, mais il me semble plus simple d'éviter une redite.

Je voudrais juste y ajouter deux précisions :

  1. Préconsisant la sortie de l'Union Européenne, votre interpellation en ce sens est sans objet.
  2. Nous vous précisons de plus que le modèle de société proposé par l'EBR-T, transition vers une EBR (Économie Basée sur les Ressources), souhaite la simplification de la gouvernance politique et des territoires ; à ce titre, seules les élections municipales et présidentielles seraient conservées pour nommer, non pas des "élus", mais des coordinateurs, et que le volet culturel serait du ressort des municipalités et de leur rayonnement, avec obtention budgétaire au prorata du nombre d'habitants.

Je vous renvoie donc à la globalité de notre programme sur ce point d'éducation, de territorialités et de gouvernance. Notre approche étant systémique et globale, je vous invite à l'appréhender dans sa globalité.

Vous comprendrez vite que l'EBR-T laisse une totale liberté sur l'autodétermination culturelle, linguistique et religieuse, estimant que cela est du ressort de l'épanouissement personnel ; si les regroupements de municipalités veulent instaurer par la suite un enseignement et un programme culturel spécifique en commun, cela ne nous semble pas du ressort de "l'état"; il incomberait alors à "l'état" un "tronc commun" et une infime part budgétaire pour la communication et la valorisation de nos "terroirs", incluant bien sûr toutes ses composantes.

Restant à votre disposition pour tous compléments d'information, débats ou interventions, veuillez recevoir, Madame, Monsieur, mes salutations respectueuses.

Stéphane Bernard,

Coordinateur EBR-T.

Article rédigé le 25/05/2012

Réponse à Bizi, partie 2

Après avoir répondu de façon générale, en incluant les préoccupations légitimes de nos concitoyens au sein du programme de l’EBR-T, il est donné ici des réponses précises au questionnaire envoyé par l’association BIZI.

1) De quel objectif de limitation de la température moyenne à la surface de la terre par rapport à la période pré-industrielle (1850), êtes-vous partisan à l'horizon 2100 (en degrés celsius) ?
Encore une fois, l’approche de l’EBR-T est systémique et radicale ; cet objectif de limitation n'a pas de sens, car c'est depuis plus de 20 ans que nous aurions dû supprimer et non accorder le « droit de polluer ». Appliquons dès maintenant un objectif zéro, à défaut de pouvoir revenir immédiatement en arrière. C’est avec l’application d’un programme de société transversal et rigoureux que nous pourrions inverser la tendance.

Cette réponse est valable aussi pour la question n°2. Tous les modèles en terme de projection montrent une chose : c'est qu'on ne sait pas prédire au-delà du seuil des deux degrés avec certitude et que tous les scenari sont possibles. Paradoxalement, un réchauffement climatique peut aussi provoquer un début d'ère glaciaire avec l'arrêt du Gulf Stream du à la désalinisation des océans, conséquence de la fonte des globes. Il y a déjà eu des précédents et les « carottes » glaciaires prélevées depuis plusieurs années sont là pour nous le prouver..
Dans le doute scientifique, on s'abstient... de toute augmentation et on applique immédiatement les mesures de réduction.

2) Pour contribuer à atteindre cet objectif, quels objectifs de limitation des émissions de gaz à effet de serre la France devrait-elle se fixer, et défendre pour l'Union Européenne (par rapport à l'année 1990) : à l'horizon 2020 et à l'horizon 2050.
Voir réponse précédente. Appliquons enfin un vrai programme écocitoyen comme nous le proposons au sein d’une EBR-T.

3) Êtes-vous favorable à l'instauration d'une telle Contribution Climat Energie à l'échelle de la France ?
Paradoxalement, notre réponse est négative, car simplement nous sommes contre le droit de polluer ! L’urgence climatique et environnementale dans laquelle notre planète se trouve ne souffre pas de compromis, pourtant devenu un « cheval de bataille » incontournable, même pour des organisations écologiques !

4) Êtes-vous favorable à l'adoption d'une telle loi de sortie progressive et complète du nucléaire ?
Oui, sans appel et avec sortie de toutes les énergies fossiles telles que pétrole et gaz.

5) Seriez-vous prêt-e à interpeller le gouvernement espagnol qui veut prolonger jusqu'en 2019 la centrale de Garoña malgré son caractère obsolète et de nombreux incidents ?
Oui

6) Appuierez-vous l’élaboration d'un Plan Climat-Energie Territorial à l'échelle du Pays Basque nord ?
Oui, mais ce type de plan et d’initiative doit être la règle au niveau national à titre d'exemple et transcender les territoires. Nous croyons à l’exemplarité en matière écologique afin de monter le possible de politiques radicales en la matière.

7) Appuierez-vous la mise en place d’un Observatoire de la Transition Energétique ?
Oui.
Nous préconisons en terme énergétique une approche autant planétaire que locale avec mise en place permanente de système d’observation et de contrôle de la demande et de l’offre qui doit en découler. Nous militons pour la notion « d’équilibre dynamique » en toute chose qui vise à trouver par le biais de l’application de méthodes scientifiques le ratio juste en terme d’énergie.

8) Êtes-vous favorable à l'instauration d'une obligation de rénovation pour le parc de bâtiments existants afin d’atteindre un seuil de 80 kWhep/m²/an pour les bâtiments à usage d’habitation (modulé selon la zone climatique et l’altitude) et de réduire la consommation en énergie primaire du parc tertiaire public et privé de 40% par rapport à la consommation de référence d’ici à 2020 en rénovant en priorité les bâtiments les plus consommateurs ?
Oui, mais nous voulons aller plus loin encore par la mise en place dans chaque secteur de notre société de « filières EBR-T » répondant à un cahier des charges obligatoires dont les principaux critères sont : durabilité, équilibre dynamique, transparence écologique et non-profit. Cette politique de « filières EBR-T » appliquée au secteur du logement permettrait de construire des logements dits « sociaux » sous la responsabilité publique en excluant la notion de profit et en maximisant la notion de rapport qualité/accession. Ceci concerne aussi bien sûr les rénovations.
Nous vous rappelons que pour nous l’énergie devrait être gratuite et gérée par domotique dans un souci d’efficience énergétique.

9) Êtes-vous favorable au renforcement des dispositifs existants au niveau du logement social ?
Le logement « social » n'a pas de vraiment de sens dans une EBR-T, puisque toute la politique de l’EBR-T est à but social ! Il nous faut revoir, comme expliqué à la question 8, notre approche globale et systémique.

10) Êtes-vous favorable à l'adoption d'un schéma national d’infrastructures de transport sobre en carbone et en énergie reposant sur
a. L’abandon des projets routiers/autoroutiers et aéroportuaires. Au delà de leur impact écologique, les projets routiers et aéroportuaires du SNIT sont coûteux et inutiles, alors même qu’il existe des alternatives dans la plupart des cas. Ils doivent donc être abandonnés (la France est déjà largement en surcapacité autoroutière par rapport à la moyenne européenne : 41% de métrage d’autoroutes en plus par habitant).
b. La création d’un réseau national Intercités s’appuyant, en priorité, sur le réseau existant. La concentration du trafic ferroviaire sur un petit nombre d’itinéraires souvent surchargés laisse de côté toute une partie du territoire, mal desservie par des lignes peu fréquentées et dont souvent l’état se dégrade. Il est nécessaire de repenser l’évolution du réseau ferré, de le moderniser et de l’étoffer. Il faut un un maillage fin et homogène du territoire, par opposition aux logiques centralisatrices du tout TGV (centrage sur les liaisons intermétropoles et passage par Paris).
c. Le sauvetage et le développement du fret ferroviaire qui, entre 2000 et 2010, a été divisé par deux en France pendant qu’il augmentait de 50% en Allemagne. Ce déclin se poursuit. L’actuel plan Fret SNCF organise l’abandon de 60% de l’activité wagons isolés (maillon essentiel pour assurer le fret ferroviaire répondant au mieux aux besoins des PME et du maillage fin du territoire), au mépris des objectifs de transfert modal. Pour relancer le fret ferroviaire, il faut améliorer la qualité du réseau ferré et relancer un service public ferroviaire de qualité passant par une quantité de volume. De plus, l’aide au transport combiné et à la création des plates-formes multimodales doit être renforcée de manière significative.
d. Le développement du transport par voie fluviale. Ce mode de transport émet 5 fois moins de GES et deux fois et demi moins de CO2 que le transport routier.
e. Une politique volontariste favorisant l’intermodalité dans le transport de personnes.

Non seulement national, mais aussi international. Je vous renvoie aux propositions sur les transports de l’EBR-T dans la première partie de notre réponse. J’y ajouterais que même le transport de marchandises serait gratuit avec transfert du personnel routier, après formation, vers la filière ferroviaire, maritime ou à mettre en place (technologie future comme le Maglev ou autres à inventer).

11) Êtes-vous partisan de la mise en place de moyens financiers adéquats et cohérents pour asseoir une politique de transport sobre en carbone et en énergie, en décidant notamment de :
a. Faire payer aux transports leurs coûts complets (coûts externes, accidentologie, pollution, congestion...).
b. Mettre en place des mesures fiscales telles que la contribution climat énergie et l’éco-redevance km poids lourds ainsi que par la suppression des aides publiques privilégiant le secteur routier et aéroportuaire.
c. Supprimer toutes les exonérations de taxe et autres avantages fiscaux dont bénéficient le transport routier et aérien (comme l’exemption de taxe pour le kérosène qui représente 3,5 milliards d’euros par an).
d. Favoriser les modes de transports alternatifs à la route et à l’aérien :
e. Doter l’Agence de financement des infrastructures de transport de France (AFITF) des moyens nécessaires pour financer les alternatives à la route et à l’aérien en lui affectant une partie du produit de la contribution climat énergie ou d’autres taxes spécifiques sur le transport routier et aérien.
f. Augmenter le financement de la régénération du réseau ferroviaire et des transports en commun en site propre (TCSP): les engagements financiers annoncés dans le cadre du Grenelle sont insuffisants.
g. Mettre en place une fiscalité favorisant la pratique du vélo via l’indemnisation des frais pour les trajets domicile-travail réalisés à vélo comme cela se fait déjà en Belgique et aux Pays Bas.

Notre approche ici est encore plus radicale et renvoie au programme de l’EBR-T qui se résume à quelques propositions simples : gratuité totale sauf autoroutes et aériens et suppression des partenariats publique/privé. Nos explications précédentes ne nécessitent pas une redite ici.

12) Êtes-vous opposé-e à la création de la voie nouvelle LGV Bordeaux-Hendaye, et partisan de l'emploi d'une partie des fonds qui lui étaient destinés au développement des alternatives de proximité au tout routier (trains de proximité, bus, vélo, intermodalité...) ?
Oui.

13) Êtes-vous partisan de la création d'une Autorité Organisatrice des Transports unique en Pays Basque nord ?
Oui et sur tout le territoire.

14) Êtes-vous favorable à la mise en place d'un plan de reconversion pour accompagner ceux qui souhaitent passer de systèmes intensifs et industriels vers l'agriculture paysanne ou biologique ?
Là aussi, nous allons bien plus loin dans notre démarche avec la création d’un plan national agricole sans équivoque. Je vous renvoie aux propositions concrètes concernant l’agriculture et l’élevage :
De notre indépendance alimentaire...
De la création d'un grand plan national paysan et local...
De la mutation de notre mono-agriculture vers une agriculture diversifiée et biologique...
De la déclaration constitutionnelle que les sols, l'eau et l'air sont le bien inaliénable de tous...
De la suppression des engrais, pesticides et insecticides...
De la suppression du catalogue officiel des semences et des hybrides F1...
De l'interdiction constitutionnelle de breveter le vivant...
De l'interdiction des OGM...
De l'utilisation de l'agrologie au sein de notre système agricole...
De l'utilisation de la permaculture au sein de notre système...
De la suppression de l'élevage en batterie...
De la suppression des hormones de croissance, des antibiotiques à titre préventif dans l'élevage..
Du respect de la condition animale dans notre chaîne alimentaire...
De l'authenticité naturelle des aliments proposés à nos élevages...

15) Êtes-vous favorable à une politique de maîtrise des émissions de N2O en diminuant l'utilisation d'engrais azotés ?
Voir question précédente puisque là aussi nous sommes inscrits dans une démarche préservatrice, réparatrice et préventive.

16) Êtes-vous favorable à la reconnaissance officielle par l'Etat d'Euskal Herriko Laborantza Ganbara, qui promeut l'agriculture paysanne et durable en Pays Basque nord, et le versement de la quote-part lui revenant des financements publics et de la fiscalité allant actuellement en totalité à la Chambre d'Agriculture de Pau ?
Même si cette démarche semble légitime, elle est réductrice et étroite de vision dans le fait qu’elle revendique une « exception basque » : pour nous, tous les terroirs sont des exceptions et devront être appréhendés de la sorte. Nous sommes donc favorables à la généralisation de cette démarche et non à son exception !

17) Êtes-vous partisan de transférer la compétence de l’élaboration du PLU à l’intercommunalité, dans un premier temps en incitant financièrement les communes à transférer cette compétence à l’intercommunalité via, par exemple, un « bonus » dans les dotations globales de financement avant de rendre ce transfert obligatoire d’ici 3 à 5 ans ?
Le problème ici est complexe, mais peut être résolu de façon simple. Deux entités dans une EBR-T : le pays et la commune avec simplification de la gestion du territoire en supprimant les départements et les régions dans leur aspect administratif. De fait, le plan national agricole s’interconnecte avec les plans locaux, tout comme l’aspect culturel ou l’urbanisme. Ici encore l’approche n’est pas de soutenir les spécificités locales ou intercommunales, mais de participer à un « vivre autrement » qui ne déroge à aucune règle que les citoyens auraient décidées en amont.

18) Êtes-vous partisan d'intégrer une véritable stratégie foncière dans le rapport de présentation du PLU ?
La stratégie foncière est avant tout pour nous un moyen d’arrêter le « bétonnage outrancier » au service d’intérêt privé, de développer l’installation agricole des particuliers dans le but d’indépendance alimentaire locale et nationale, de mettre en place un moratoire sur tous les projets détruisant l’environnement et d’encourager une création « individuelle » de l’autonomie énergétique.
Dans ce sens oui, mais nous doutons que cela soit du ressort du PLU !

19) Plusieurs outils légaux et fiscaux existent pour favoriser la mise en place de cette stratégie foncière, souhaitez-vous les renforcer, notamment à travers la mise en place des PPEANP (Périmètre de protection des espaces agricoles et naturels periurbains) et du renforcement de la CDCEA ?
Oui pourquoi pas ? Mais là aussi, il nous semble du coup obsolète tous ces stratégies limitatives ou incitatives si l’ensemble du territoire a une politique claire et lisible au niveau national en la matière.

20) Appuierez-vous le retour à l'âge légal de la retraite à 60 ans ?
Oui

21) Défendrez-vous de nouvelles avancées vers la réduction du temps de travail hebdomadaire et annuel ?
Oui. L’approche en la matière est surprenante par la plupart de nos concitoyens ! L’automatisation et les avancés technologiques sont pour tous un terrain favorable au chômage ou à la délocalisation dans une société de profit (avec les disparités internationales fiscales et de niveau de vie). Nous pensons au contraire que plus notre technologie avancera plus elle devra être au service de l’humain. On constate que c’est son utilisation qu’il faut remettre en question et surtout que cette notion de profit et de croissance inhérente à notre système est devenue obsolète.
Le temps libre n’est pas du temps perdu et l’épanouissement personnel ne passe pas non plus par la consommation, la possession ou le divertissement abêtissant. Il nous faut réinventer une civilisation du travail pour une civilisation de « l’activité ».

22) Êtes-vous favorable à une loi contre l'obsolescence programmée des objets ?
OUI, OUI et encore OUI, ainsi que la notion de profit dans les filières de consommation. Paradoxalement, nous sommes incapables de concevoir la consommation sans profit ! Nous vous invitons à la réflexion en ce sens...

23) Êtes-vous partisan de légiférer de façon contraignante sur la réduction des déchets à la source ?
OUI. Cela est une condition nécessaire, mais non suffisante dans notre approche. Nous reparlons ici « d’équilibre dynamique » et il nous faudrait plus de temps et de place pour développer ici notre propos...

24) Êtes-vous favorable à la mise en place d'une redevance incitative afin d'encourager les comportements vertueux, de favoriser le réemploi, la réparation, le recyclage et le compostage ?
NON. Nous sommes favorables à une obligation, à défaut de prise de conscience immédiate de la portée de la problématique. Nous sommes favorables à ce que l’état mette en place les moyens et l’éducation pour un objectif premier de 80 % de recyclage de tous nos déchets.

25) Êtes-vous favorable à la mise en place généralisée de systèmes de collecte sélective "porte à porte" des déchets (plastique, verres, papiers, organiques etc. collectés séparément) ?
NON, car pas assez optimum en terme « énergivore » ! Plus que la collecte sélective, nous aimerions le « dépôt collectif » avec une véritable prise de conscience de nos concitoyens !

 

Article rédigé le 06/06/2012

Réponse à Coordination Associative Pyrénéenne pour l’Ours (CAP Ours)

Madame, Monsieur,

Je vous remercie de votre consultation concernant les engagements de l’EBR-T sur le « Durable », la « Biodiversité » et l’écologie en général, et plus particulièrement sur la question pointue des ours des Pyrénées.

Je voudrais afin de vous faire comprendre notre démarche citer, dans un premier temps, un extrait de notre charte :

« Nous manifestons notre engagement en faveur de la non-discrimination et de la biodiversité reconnue, intégrant l'humanisme comme valeur et préoccupation au sein de la Nature, le replaçant ainsi dans son contexte biologique et interactif, affirmant son égalité tout en reconnaissance sa diversité personnelle et culturelle. »
« Nous déclarons la terre comme une et indivisible, bien commun de l’ensemble des végétaux, minéraux, animaux et humains, et que les besoins doivent être accessibles à toutes ses composantes dans le souci de leur équilibre interactif. »
« Nous avons conscience qu’une gestion durable de partage et égalitaire des ressources planétaire, grâce à l'utilisation bienveillante de la technologie et des sciences humaines, nous permettra de créer un système d'accès plutôt qu'un système monétaire de propriété.»

La compléter par un autre extrait issu de la présentation de notre mouvement :

« Humaniste...
Il met l'Homme comme valeur et préoccupation centrale au sein d'un équilibre dynamique avec la Nature, le replaçant dans son contexte biologique et interactif avec les animaux, les végétaux et les minéraux, et affirmant son égalité tout en reconnaissant sa diversité personnelle et culturelle. »

Continuer par deux points de notre programme concernant ce sujet :

« De l'utilisation de l'agrologie au sein de notre système agricole...
De l'utilisation de la permaculture au sein de notre système... »

Élargir le débat à l’international :

« De la sortie de la France de l'Europe...
De la sortie de la France du G7...
De la sortie de la France de l'OTAN...
De la sortie de la France du G20...
De l'impossibilité de veto d'un pays au sein de l'ONU...
De la suppression de l'immunité diplomatique des représentants des pays étrangers sur notre territoire...
De la création d'une nouvelle organisation internationale égalitaire... »

Et conclure en mettant l’accent sur le rôle de « coordinateur » dans notre projet de société pour répondre à votre interpellation concernant l’ours ; nous nous devons d’avoir en la matière une approche de propositions qui soit construite sur des données à la fois scientifiques, écologiques et sociétales, faire participer les acteurs reconnus de cette question et les soumettre aux concitoyens par le biais d’une consultation démocratique directe (vote électronique par exemple).
Je ne suis pas certain que les instances européennes, mais aussi l’ensemble de la population et des experts concernés furent appelées à décision...

En espérant avoir répondu à vos attentes en toute transparence.

Cordialement.

Stéphane Bernard.
Coordinateur EBR-T

Article rédigé le 22/05/2012

Réponse à l'invitation du réseau Euskal irratiak

Réponse à l'invitation du réseau Euskal irratiak, dans le cadre de la campagne des élections législatives 2012
(Fédération des radios d’expression basque « Euskal Irratiak » (Antxeta irratia, Gure Irratia, Irulegiko irratia et Xiberoko Botza)
Débats de 1 heure et 30 minutes entre les candidats (tes) de chaque circonscription :
5.ème le vendredi 01Juin à 19heures à Gure irratia (Ustaritz)


Bonjour,

Merci de votre consultation et de votre invitation.

Le temps imparti de 2 minutes étant trop court pour espérer appréhender le mouvement que je coordonne, je préfère vous répondre par écrit espérant que vous pourrez la lire lors de votre débat.
Je vous invite à lire l'ensemble de notre programme et son préambule sur le site de campagne à mon nom, puisqu'il faut bien personnifier ; cela vous permettra d'appréhender d'une façon plus large notre projet de société.
Je vous invite aussi à participer au premier des trois débats hebdomadaires sur internet le jeudi 24/05/2012 de 18h30 à 20h00 sur opinews.com.
N'y voyez aucune condescendance de ma part, mais juste une incompatibilité de temps.

Néanmoins, je peux vous répondre rapidement sur la question basque au sein d'une EBR-T :

I- Proposition de reconnaissance de la langue basque et de sa culture, comme toutes les cultures "régionales" françaises, au sein d'une nouvelle constitution transitoire.

II- Arrêt de toutes les subventions d'état pour toutes les écoles privées de langues ou de religion avec intégration des langues régionales au programme en option, au regard du programme EBR-T dont voici un extrait :

De la priorité de l'éducation (avec la santé) dans nos orientations budgétaires...
De la gratuité de l'enseignement du primaire au supérieur...
De la non-subvention et contrat avec l'état des écoles privées et/ou religieuses...
Du droit de scolariser ses enfants à partir de six mois...
De l'obligation de scolarisation jusqu'à l'âge de 18 ans...
De l'intégration des crèches au sein de l'éducation nationale...
De l'obligation de l'éducation nationale et des crèches de fournir une place pour tous...
De l'interdiction de dépasser un effectif de plus de 5 enfants par personnel qualifié dans les crèches...
De l'interdiction de dépasser un effectif de plus 20 élèves par classe...
De la présence d'éducateurs spécialisés au sein de l'enseignement national...
Du regroupement physique et institutionnel au sein de l'enseignement national des personnes handicapées...
De la mise à disposition gratuite des manuels scolaires et des fournitures...
Du retour de vrais manuels ou l'arrivée de manuels numériques...
De la mise en place d'une restauration scolaire et universitaire bio et de proximité...
De la gestion public de la restauration scolaire et universitaire à prix coûtant...
De la suppression de l'Allocation de Rentrée Scolaire...

III- Aucune législation sur les écoles privées et libre droit d'apprentissages.

IV- Au sein d'une EBR les frontières économiques et nationales étant abolies, l'EBR-T (sa transition) a des propositions très concrètes sur la gouvernance (incluant les départements, et donc la question d'un département Pays Basque ou d'un regroupement Nord/Sud)). En voici un extrait :

De la suppression du Sénat...
De la suppression du Conseil d'État...
De la suppression du Congrès du Parlement français...
De la suppression du Conseil Constitutionnel...
De la suppression du Conseil supérieur de la magistrature...
De la suppression des Conseils Généraux et Régionaux...
De la modernisation de la Cour des Comptes et de la création d'un pouvoir de veto...
De l'indépendance et de la nomination du Médiateur de la République...

En espérant avoir répondu avec le plus de transparence possible et restant à votre disposition.

Cordialement

Stéphane Bernard
Coordinateur EBR-T

Article rédigé le 22/05/2012

Législatives : Il ne remporte qu'une voix, "une voix de trop"

Le Mouvement EBR-T n'a remporté qu'une seule voix lors du premier tour des législatives. Une voix de trop, selon la tête de liste Stéphane Bernard.

Stéphane Bernard, candidat du mouvement amonétariste EBR-T pour les législatives 2012 sur la 5e circonscription des Pyrénées Atlantiques, au Pays Basque, n'a remporté qu'une seule voix lors du premier tour. Une voix de trop, selon le candidat.

"Proposant, comme peu l'ont compris, une réflexion vers une société transitoire menant à une EBR (économie basée sur les ressources) et ayant choisi une communication électorale à 0 € (pas d'affiche, pas de profession de foi et des bulletins de vote téléchargeables sur le site de campagne), nous sommes surpris d'être privés d'un score nul," a dit Stéphane Bernard dans un communiqué.
La surprise est telle que Stéphane Bernard souhaite découvrir quelle est la personne qui a voté pour lui.
Pour le second tour, Stéphane Bernard appelle à voter "le premier parti" de France, le BANI, c'est-à-dire la liste intégrant les Blancs, les abstentionnistes et les non-inscrits.
Sur son site Internet, il a publié un tableau (en téléchargement) classé par ordre croissant de tous les résultats officiels nationaux des formations politiques, mais en y intégrant les Blancs, les abstentionnistes et les non-inscrits.
"La vision que nous avons alors de ces dernières élections au regard de ces chiffres, qui disent enfin la vérité, est sans appel," selon Stéphane Bernard : "les socialistes sont à 16,35 %, l'UMP à 15,11 %, le FN à 7,57 %. Le premier parti de France est plus que jamais, comme pour les présidentielles, ce que nous avons appelé le BANI avec 44,29 %."

lire l'article

 Article rédigé le 11/06/2012

Le dernier parti de France appelle à voter pour le premier parti : le BANI (1)

La première campagne officielle du Mouvement EBR-T pour les législatives 2012 se solde par une mystérieuse interrogation : quelle est LA personne qui a voté pour nous ?
Proposant, comme peu l’ont compris, une réflexion vers une société transitoire menant à une EBR (économie basée sur les ressources) et ayant choisi une communication électorale à 0 € (pas d’affiche, pas de profession de foi et des bulletins de vote téléchargeables sur le site de campagne : www.stephanebernard.eu), nous sommes surpris d’être privés d’un score nul !

Encore une fois, nous allons vous proposer un autre regard sur le monde et nous mettons à votre disposition un tableau, classé par ordre croissant de tous les résultats officiels nationaux des formations politiques, mais en y intégrant les Blancs, les abstentionnistes et les non-inscrits.

Nous sommes partis sur une tranche très basse estimative de 500 000 non-inscrits (certaines estimations en proposent le double, voire le quadruple), et tous ces chiffres sont ramenés non pas au nombre d’inscrits, mais sur l’ensemble du corps électoral.

La vision que nous avons alors de ces dernières élections au regard de ces chiffres, qui disent enfin la vérité, est sans appel : les socialistes sont à 16,35 %, L’UMP à 15,11 %, le FN à 7,57 %. Le premier parti de France est plus que jamais, comme pour les présidentielles, ce que nous avons appelé le BANI avec 44,29 %.
Effet de hasard linguistique ou ironie statistique ? 

Quoiqu’il en soit le score nul + 1 voix de l’EBR-T (mais qui est donc cet (te) électeur ou électrice ?) est autant à mettre en perspective que le véritable reflet qu’ont nos concitoyens pour la politique actuelle.

Nous sommes donc ravis d’avoir encore une fois la confirmation que seuls une autre gouvernance et un autre modèle de société sont l’alternative !
À nous de faire connaître encore plus notre programme de transition qui nous mènera vers un amonétarisme salutaire !

Nous vous invitons donc à réfléchir sur les propositions sociétales présentées sur www.ebrt.org et attendons de pouvoir en débattre avec vous, qui que vous soyez.

Et n’oubliez pas : « Ce n'est pas parce qu'ils sont nombreux à avoir tort, qu'ils ont raison ! » (2)

(1) Blanc - Abstention - Non Inscrits
(2) John Kennedy Toole - La conjuration des imbéciles (prix Pulitzer 1981)

 Article rédigé le 11/06/2012

Réponse à PACT-HD

Nous vous invitons en préambule à notre réponse à visiter le site http://www.habitatpaysbasque.com

Dans un courrier du 04/06/2012, vous nous interrogez sur la politique de logement que nous préconisons.
Nous ne pouvons répondre précisément à votre consultation dans la mesure où la direction entreprise annule de fait la grande majorité des problématiques actuelles auxquelles nous sommes tous confrontés.
Voici donc un extrait des mesures prises au sein d’une EBR-T après consultation des citoyens pour validation. Nous espérons que cela forcera à la réflexion sur notre approche sociétale.
Prenez le temps de consulter nos plus de 200 propositions.

De la sortie du système monétaire européen...
De la création d'une nouvelle monnaie transitoire traçable et sans taux d'intérêt...
De la souveraineté nationale pour l'émission de la monnaie...
De l'interdiction d'injecter de l'argent dans les banques spéculatives actuelles et les marchés financiers virtuels...
De la création d'une banque EBR-T d'état à but non lucratif...

De la création d’une filière logement EBR-T qui établirait les règles minimums obligatoires en terme « d’éco-logis »...
De la destitution des élus communaux ne respectant pas les quotas de logement sociaux...
De prêts à 0 % auprès des particuliers pour la rénovation des logements et des normes environnementales par la Banque Nationale EBR-T...
De prêts à 0 % auprès des communes pour la construction de logement...
De l’obligation, sous réserve de ne pouvoir louer ou habiter, de la mise aux normes de tous les logements dans le cadre d’une visite annuelle normative et de sécurité...
De l'impossibilité des plus-values immobilière...

Cordialement.
Stéphane Bernard,
coordinateur EBR-T

 Article rédigé le 08/06/2012 et mis à jour le 27/01/2016

Réponse à IBAI-ERREKAK

Votre demande étant très longue, nous préférons ici donner un lien de votre site et répondre à vos questions sur le sujet agricole et protection de l’environnement en vous citant un extrait de notre programme.

De la création d'un grand plan national paysan et local...
De l'interdiction des bisphénols, phtalates, antimoines, huile de palme et autres adjuvants alimentaires nocifs...
De la mutation de notre mono-agriculture vers une agriculture diversifiée et biologique...
De la déclaration constitutionnelle que les sols, l'eau et l'air sont le bien inaliénable de tous...
De la suppression des engrais, pesticides et insecticides...
De la suppression du catalogue officiel des semences et des hybrides F1...
De l'interdiction des OGM...
De l'utilisation de l'agrologie au sein de notre système agricole...
De l'utilisation de la permaculture au sein de notre système...
De la suppression de l'élevage en batterie...
De la suppression des hormones de croissance, des antibiotiques à titre préventif dans l'élevage…
Du tri sélectif de tous les particuliers et entreprises, y compris le compostage...
D'un objectif de plus de 80 % de recyclage de nos déchets...
D'un plan national d'autonomie énergétique individuel...
Du développement des énergies renouvelables (éolien, marémotrice, hydromotrice, hydrogène, solaire,...)...
De la sortie la plus rapide du nucléaire...
De l'interdiction constitutionnelle d'exploiter des ressources énergétiques fossiles...
Du droit constitutionnel de chaque citoyen à l'accès à l'eau et aux ressources énergétiques...
De la sortie de la filière gaz...
De la mise à disposition gracieuse de l'eau potable et des ressources énergétiques sous la condition d'automatisation et de régulation des particuliers (domotique)...

Nous restons à votre disposition pour toute explication lors d’un débat contradictoire ou d’une réunion informative.

Cordialement.

Stéphane Bernard,
Coordinateur EBR-T

 Article rédigé le 08/06/2012

Handik

Je vous remercie de votre demande de positionnement concernant le handicap au sein de notre république actuelle. 

Je laisse à disposition des lecteurs votre courrier reçu afin qu’il puisse le consulter.

Avant de répondre précisément à vos questions, je me permets de vous donner ici un extrait de nos propositions sociétales en terme d’éducation. Vous y verrez le souci premier de l’intégration de notre population dite « handicapée » au sein de l’éducation nationale française :
De la priorité de l'éducation (avec la santé) dans nos orientations budgétaires...
De la gratuité de l'enseignement du primaire au supérieur...
De la non-subvention et contrat avec l'état des écoles privées et/ou religieuses...
Du droit de scolariser ses enfants à partir de six mois...
De l'obligation de scolarisation jusqu'à l'âge de 18 ans...
De l'intégration des crèches au sein de l'éducation nationale...
De l'obligation de l'éducation nationale et des crèches de fournir une place pour tous...
De l'interdiction de dépasser un effectif de plus de 5 enfants par personnel qualifié dans les crèches...
De l'interdiction de dépasser un effectif de plus 20 élèves par classe...
De la présence d'éducateurs spécialisés au sein de l'enseignement national...
Du regroupement physique et institutionnel au sein de l'enseignement national des personnes handicapées...
De la mise à disposition gratuite des manuels scolaires et des fournitures...
Du retour de vrais manuels ou l'arrivée de manuels numériques...
De la mise en place d'une restauration scolaire et universitaire bio et de proximité...
De la gestion publique de la restauration scolaire et universitaire à prix coûtant...
De la suppression de l'Allocation de Rentrée Scolaire...
De la priorité de la recherche au sein de l'enseignement national...

Ces propositions sont pour nous une condition et un cadre général préalable à toute société qui se respecte afin d’éviter, quel que soit le public, toute discrimination et tout rejet d’un système éducatif parfois contradictoire dans ses approches...

Accessibilité
On nous oppose souvent une radicalité lorsqu’il s’agit de l’intérêt et du bien commun ; nous ne dérogerons donc pas à la règle.
Pour faire appliquer les normes d’accessibilités en vigueur et non respectées à ce jour, nous préconisons la fermeture pure et simple de tout établissement ne correspondant pas aux exigences législatives lors des visites de contrôle de sécurité annuelle, avec une obligation d’application sous une durée maximum de douze mois.
Cette mesure peut être applicable aussi sur les biens de droit privé.

Droit à la compensation
Il nous semble que si notre programme est appliqué, ce droit n’a plus de raison d’exister puisqu’obsolète. Nous préférons régler les problèmes à la racine.

Éducation
Non seulement nous soutenons le faible effort actuel avec la présence d’AVS ou d’EVS au sein des établissements, mais nous désirons un vrai statut de fait pour les AVS, disparition des EVS, une formation préalable et continue, la fin de la précarité des postes, un droit de regard et d’expression au sein du pôle éducatif et une meilleure intégration au sein du corps enseignant.

Autisme
Je ne vous cacherai pas mon incapacité actuelle à compulser les 64 pages du rapport cité en référence, et je ne vous ferai pas de langue de bois.

Toutes études ou préconisations en la matière me trouvent de fait sa légitimité, mais il me semble que, comme à l’habitude, il manquera les moyens et une véritable volonté politique d’application.

Sur le pôle médical de votre question, n’étant pas un spécialiste je ne positionnerai que sur les points suivants au regard d’un vécu personnel :

  • Remise en question du dogme psychiatrique qui tente à considérer les autistes comme des névrosés.
  • Remise en question des méthodes d’apprentissage avec une voie à suivre concernant la méthode ABA.
  • Prendre conscience que les coûts initiaux de détection et d’accompagnement dès le plus jeune âge reviennent moins cher à la collectivité qu’un « accompagnement à vie » sans moyen éducatif.
  • Demander à tous les intervenants de prendre conscience du degré et de la mesure du type d’autisme, sans pour cela donner raison et droit a priori aux parents, aux enseignants ou au corps médical. Les divers intervenants auprès de l’autiste doivent avoir la même obligation d’objectivité.
  • Changer nos repères éducatifs qui nous imposent une réussite sociale par le professionnel ou par le biais d’une communication « normée et normale ».
  • Côtoyer le handicap dès le plus jeune âge au sein de l’enseignement.
  • Alourdir les pénalités de non-respect des « quotas » en matière d’emploi afin que la non-observance ne soit plus la règle, mais l’exception.

Très conscience de l’incomplétude de mes réponses, je reste à votre disposition afin de participer à la réflexion actuelle et aussi afin de vous expliquer ce que pourrait être le « handicap » au sein d’une EBR-T.

Cordialement.

Stéphane Bernard,
Coordinateur EBR-T

 Article rédigé le 08/06/2012

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